Winamax

[Blog] Good run : attention danger !

Par dans Général il y a 7 jours.

Blog Adrián Mateos Facebook

Cela fait deux mois que je n'ai rien écrit ici. Vous le savez peut-être : ces deux mois ont été extrêmement chargés pour moi. Mes résultats ont été incroyables, aussi bien online qu’en live.

Revenons un peu en arrière. Pour la première fois depuis que ma carrière de joueur pro a débuté, j'ai manqué en août l'EPT Barcelone, pour des raisons personnelles. C’est pourtant mon festival préféré : il se joue à la maison (pour ainsi dire) et il constitue toujours une bonne occasion de revoir des amis qu’il m’est difficile de croiser le reste de l’année. La bonne nouvelle, toutefois, c’est que les autres festivals auxquels j’ai pu participer ensuite ont été tout à fait satisfaisants.

Commençons par l’EPT Chypre : une grande découverte. Je connaissais déjà les lieux pour y avoir disputé de gros tournois dans le passé. Mais c’était la première fois que la marque European Poker Tour y tenait un évènement. J’ai l’impression que les retours sur ce festival, organisé dans la partie turque de l’île, ont été très positifs, ce qui me laisse à penser que cette étape pourrait devenir récurrente dans les années à venir. [NDLR : Adrián nous a envoyé son article juste avant que ne sorte le calendrier 2024 de l'EPT : la máquina avait vu juste]. Pour moi et pour tous ceux qui jouent des tournois à buy-in élevés, ce serait une très bonne nouvelle : les fields étaient de très bonne qualité. Dans cette partie du monde, il y a pas mal d’argent en circulation : il y a donc de la place pour organiser de nombreux tournois High Rollers.

Adrián Mateos Winner Picture EPT Chypre

Un High Roller, j’en ai justement gagné un lors de cette excursion chypriote. Avec quelques places payées en plus, j’en suis reparti avec un bilan financier positif. Mais pas autant que certains amis de... Lire la suite

[Blog] Sosies, vous avez dit sosies ?

Par dans GénéralLife Style il y a 28 jours.

Blog Maxime Manzone Facebook

En cette froide journée de décembre 2025, cela fait maintenant deux mois que la terrible annonce est tombée. En accord avec la communauté poker et la majorité des organisateurs de tournoi, les joueurs du Team Winamax sont bannis de toutes compétitions internationales !

Il faut dire qu'après les victoires successives de Davidi Kitai puis Gaëlle Baumann sur le Main Event des WSOP, les 28 tournois Triton tous remportés sur la même édition par Adrián Mateos, João Vieira et Medhi Chaoui, le triomphe d'Alexane Najchaus sur le premier challenge Expresso live à 50 millions garantis, sans oublier les multiples titres et tables finales du reste de l’équipe aux WSOP, WPT et EPT, le ras-le-bol général a eu raison des flamboyants W rouges.

Mais alors que le monde du poker commence doucement à se faire à cette nouvelle, je reçois une invitation dans ma boîte aux lettres pour participer à la soirée de lancement d'une organisation secrète… Très intrigué par cette affaire, je décide de me mettre sur mon 31 et d'aller voir ce qui se trame. Quelle ne fut pas ma stupeur en arrivant sur les lieux, dans le sous-sol d'une maison abandonnée !

L'école de la lose

En entrant dans la salle, la première personne que je crois reconnaître au loin est Stéphane Matheu. En m'approchant, je comprends vite qu'il s'agit là d'un sosie : le champion de pickleball Stefan Mateü ! N'acceptant pas les décisions prises par les différentes organisations du poker mondial, il décide d'organiser une rébellion secrète pour reconstruire l'équipe. Son nouveau nom : Loseunmax.

En parcourant la salle des yeux, je réalise que l’endroit est rempli de visages qui me semblent familiers. Qui sont tous ces gens ? Tous portent des étiquettes avec leur nom et, à... Lire la suite

[Blog] Quel joueur du WPO Bratislava êtes-vous ?

Par dans GénéralLife StyleWPO Bratislava il y a 2 mois.

crea gaelle baumann
Le Winamax Poker Open Bratislava approche à grands pas, alors je dois vous avouer quelque chose. Les très bons moments passés l’année dernière me trottent à ce jour dans la tête. Alors pour vous changer les idées en cette période de rentrée, quoi de mieux qu'un petit quiz ? Oui parce qu'il existe plusieurs façons de vivre un tournoi Winamax. Mais vous : quel joueur du WPO Bratislava êtes-vous réellement ?

Il est minuit. Que faites-vous ?

Vous avez déjà vos jetons Midnight Deglingos dans la poche et êtes prêt à sauter sur la table.
Le taxi est réservé, vous partez en soirée dans une boite de la ville !
Vous êtes paniqué lorsque vous apercevez sur l'application Winamax Live qu'on ne peut plus s'inscrire sur le Sprint.
Le panneau « Ne pas déranger » est déjà installé sur la porte de votre chambre.

deglingo

Quel Day choisissez-vous pour participer au Main Event ?

Le dernier du vendredi afin de passer le moins de temps possible sur place.
Le Day 1A afin de vous qualifier directement pour avoir un peu de temps libre.
Le Main quoi ? Ah non, ce n'est pas au programme ça.
 Le Day 1A. Puis B, C, D, E... Vous ferez tout l'alphabet s’il le faut.

Le Winamax Beer Pong approche…

Vous êtes le premier inscrit. Ce tournoi, c'est le Main Event de votre festival !
Votre déguisement est prêt et vous irez vous inscrire dès que vous sauterez du tournoi sur lequel vous êtes en course. 
Des ivrognes qui jettent des balles en plastique ? Cela ne vous intéresse pas.
Ça a l'air sympa mais vous ne comprenez pas la programmation, c'est en conflit direct avec le Sprint…

beer pong

Parlons de la nourriture slovaque…

Le buffet est top, vou aimeriez juste qu'il ouvre une heure plus tôt afin de... Lire la suite

[Blog] Inverser la tendance

Par dans GénéralTournois Live il y a 5 mois.

Blog Gaelle Baumann 28 juin 2023
On y est, Vegas c'est J-1 pour moi ! La pression monte, les valises ne sont pas encore prêtes... mais j'ai le cerveau en ébullition à l'idée de retrouver une nouvelle fois cette ville que j'aime tant. Hier encore, je passais un après-midi paisible sur une plage de Camargue quasi déserte. Mais demain, ce sera un tout autre paysage : des néons et des écrans géants qui illuminent la ville qui ne dort jamais, la cohue, la démesure, l'excitation dans les salles de jeux. On ne s'y habitue jamais totalement. On est en général aussi content de retrouver Vegas que de la quitter. Comme les années précédentes, je ne passerai “que” trois semaines à Sin City. Pas toujours facile d'allier la vie de maman à celle de joueuse de poker pro. Avec une petite fille de huit ans (déjà !), les nombreux déplacements sont souvent un déchirement pour tout le monde. Sauf cette année, ce ne sera pas le cas puisque Léa sera dans mes bagages (si je puis dire !) Elle m'accompagnera tout au long de ces WSOP. C'est encore un peu tôt pour qu'elle puisse participer au Junior Event à 100 Haribos l'entrée, mais elle pourra au moins profiter de la piscine, du jacuzzi et des nombreuses activités qu'offre Vegas pendant que maman tentera d'accéder au Graal, le tant convoité bracelet WSOP.

EPT Monaco, un échec aux tables... mais un régal à table

Avant l'excitation de Vegas, petit flashback sur les mois passés... Après mes derniers deep run sur le circuit EPT, ce n'est pas à Monte-Carlo que j'ai réussi à concrétiser mes espoirs d'enfin accrocher une table finale. J'ai finalement disputé beaucoup moins de tournois que prévu, seulement six sur toute la durée du festival, et n'ai réalisé aucun ITM. Chou blanc ! Je n'étais pas dans les meilleures dispositions pour... Lire la suite

[Blog] Sortir des sentiers battus

Par dans GénéralTournois Live il y a 5 mois.

Blog Team Winamax Mustapha Kanit
Je vous écris depuis Las Vegas. Je suis là pour tout donner pendant cet événement incroyable que sont les World Series of Poker. Cette année, j’ai décidé de me lancer dès le début du festival. Ça fait déjà trois semaines que je suis arrivé... Les WSOP durent longtemps, donc il faut rester concentré et tout donner sur une période assez longue.

Jusqu'ici, j'ai énormément joué (presque 30 tournois), avec deux deep runs. Les fields sont immenses, il y a beaucoup de variance. C’est pour cela qu’il faut garder son calme et ne pas se laisser dépasser par les événements, tout en étant concentré lors de chaque tournoi. Le premier deep run est arrivé au bout d’une dizaine de jours. Il restait 50 joueurs dans ce tournoi Freezeout à 1 500 $ qui a enregistré plus de 2 500 entrées. Je me suis retrouvé à jouer un pot d'environ 65 BB avec As-Roi (32 BB effectifs) contre deux Valets. Mais la pièce est tombée du mauvais côté... Je pense malgré tout avoir bien joué. J’ai eu des sensations positives, surtout au moment de faire quelques beaux hero calls ou de coucher de grosses mains.

Jouer à l'envers : risqué mais payant

Mustapha Kanit
D’ailleurs, je vais détailler une main assez spéciale. On est à la fin du Day 1 de ce Freezeout. Un joueur en début de parole relance à 5 000 (2 BB). Je paye avec 66 depuis le cutoff et toute la table se couche. J’ai 200 000 jetons devant moi environ (je viens de doubler sur la main précédente avec JJ contre 99), mon adversaire à 130 000. Le flop tombe 1095 (j’ai le 6). Mon adversaire check, je fais de même. La turn est un autre 10 qui n’ouvre aucun nouveau tirage. Le relanceur initial mise 8 000. Je réponds par une action pas vraiment standard... car je pense avoir la meilleure main. Ce sera en effet difficile... Lire la suite

[Blog] Éco trip

Par dans Général il y a 5 mois.

Davidi Kitai
Au lycée, j’étais un élève très moyen. Peu de matières m’intéressaient. Mes professeurs disaient que j’avais des capacités, mais que j’étais trop souvent dans la lune. À 18 ans, je devais choisir vers quelle voie j’allais me diriger. Je voulais faire des études, mais davantage pour le côté festif que dans une vraie optique d'avenir. J'ai finalement choisi d’étudier les Sciences Économiques à l’Université Libre de Bruxelles. Le choix typique des garçons qui ne savaient pas quoi faire ! (Pour les filles, l'équivalent était la psycho.) Nous étions plus de 600 élèves en première année, et je savais qu’à peine un quart d'entre eux allaient passer en seconde année. J’essayais de suivre les cours, souvent très théoriques, dans les grands auditoires de l’université. Mais j’avoue que cela ne m'intéressait pas et que je n’y comprenais pas grand-chose. Je me posais beaucoup de questions.

Il y avait aussi des cours pratiques, dans des petites classes. Un cours de Statistiques m’a intéressé plus que les autres. La jeune professeure [merci, Mme Catherine Dehon !] était vraiment pédagogue. Je prenais confiance : enfin, je comprenais quelque chose ! Au moment du blocus - en Belgique, c'est ainsi que s'appelle la période où l'on prépare les examens - j’étais un peu en panique, car il y avait beaucoup de théorie, avec des syllabus de 500 pages à étudier. Et ma mémoire n'était pas top. Je cherchais donc des résumés. En fait, je résumais les résumés, pour les synthétiser encore et encore : au final, je terminais avec une ou deux pages que j’étudiais à fond. Malheureusement, cela ne suffisait pas pour avoir de bonnes notes sur les parties théoriques. En Stats, par exemple, j’ai eu 9/10 en pratique et 1,5/10 en théorie, ce qui ne me permettait pas d’avoir le... Lire la suite

[Blog] Acte 7… et bracelet 5 ?

Par dans GénéralTournois Live il y a 5 mois.

Adrián Mateos
Les World Series of Poker ont débuté. Je ne vous apprends rien en disant que c'est l'un des moments les plus attendus de l'année, pour moi comme pour des milliers de joueurs à travers le monde. C'est mon septième pèlerinage aux WSOP depuis mes débuts en 2015, l'année de mes 21 ans, l'âge légal pour jouer aux États-Unis. Je tiens compte de l'année blanche que nous avons connu en 2020 pour les raisons que nous connaissons tous. Bien que je me considère comme un vétéran du circuit, lorsque la date approche j'ai toujours ce "picotement" dans l'estomac. Car c'est un voyage spécial, très différent de n'importe quelle étape de l'EPT ou de n'importe quel événement en Europe. Pour de nombreuses raisons.

Las Vegas, comme une deuxième maison

Adrian Mateos en table télévisée des WSOP
Les WSOP sont un événement beaucoup plus long que tous les autres, qui occupe près de 50 jours dans mon calendrier.

Contrairement à d'autres festivals, je ne séjourne pas à l'hôtel pendant les WSOP. Nous avons décidé de louer une maison avec plusieurs joueurs/amis. Cela rend le séjour plus agréable, car on peut partager de bons moments, des expériences, des repas et rire tous ensemble.

Il y a un facteur économique qui ne peut pas être négligé. Bien que de nos jours il existe des festivals très chers tout au long de l'année (comme les Triton Series), pour les WSOP il faut toujours mettre de côté une somme d'argent très importante. En plus de proposer beaucoup de tournois à buy-in élevés (surtout dans les premières semaines du festival), les World Series offrent des tournois tous les jours, et cela nous oblige à disposer de fonds très importants. Par ailleurs, si tout se passe bien, c'est aussi la période de l'année où l'on peut gagner le plus d'argent. Croisons les doigts !

Enfin, ce qui... Lire la suite

[Blog] L'amour des cartes

Par dans Général il y a 5 mois.

Mehdi Blog
Au moment où j'écris ce blog, cela fait à peine un mois que j'ai rejoint le Team Winamax. Mais en très peu de temps, de nombreux événements se sont enchaînés. Tout d'abord, le séminaire du Team, qui se voulait la première rencontre avec tous les membres de l’équipe. Puis l’EPT Monaco, une étape du circuit que j’apprécie particulièrement, et qui s’est avérée compliquée jusqu'à ce que j'obtienne ma première victoire sous les couleurs rouges et blanches, en toute fin de festival. 

Le rythme effréné auquel se succèdent les étapes de ma toute jeune carrière semble récurrent. Ma perception du temps se voit altérée et l’accélération sempiternelle des événements peut parfois inquiéter. C’est ainsi qu’à la suite d’un entretien sur la socialisation primaire des joueurs de poker que j’ai accordé à une thésarde, j’ai pu prendre du recul et essayer de me remémorer d’où me venait cette passion si particulière que celle des jeux de cartes. 

Mon initiation aux cartes date de mon plus jeune âge. Issu d’une famille à la culture arabo-andalouse, il ne se passait pas un rassemblement entre oncles et cousins sans une soirée entière passée à jouer. Mon grand-père a également contribué à mon appétence pour les cartes : on passait nos après-midi à s'affronter en « heads-up », au toutil (une sorte de belote marocaine, bien plus complexe stratégiquement). J’étais également son partenaire lorsqu’il était question de jouer en équipe de deux (une des variantes du toutil). Tout ça pour dire que dans ma famille, les cartes ont une fonction sociale primordiale. Elles nous rassemblent, nous font passer des moments ensemble et vivre des émotions. Du rire à la colère, de la cohésion au désarroi. Mes souvenirs de jeunesse en famille tournent principalement... Lire la suite

[Blog] Femme au bord de la crise de nerfs

Par dans GénéralLife Style il y a 6 mois.

Leo Margets Blog Facebook

Je suis en crise. Alors pour tenter d'aller mieux, je préfère penser ce concept au sens étymologique du terme. À l'origine, le mot grec "krísis" désigne une décision, un résultat, bref, un changement d'état. Il n'est donc ni positif, ni négatif en soi, quand notre usage actuel en fait quelque chose de forcément néfaste. Bien sûr, il y a une part de logique : l'être humain déteste le changement. Quelle que soit l'issue, ce qui est connu nous attire, alors que nous avons tendance à rejeter l'inconnu. C'est que le changement induit de l'incertitude. Et l'incertitude nous fait peur.

Dans une majorité de situations de la vie courante, notamment celles impliquant du changement, l'approche stoïcienne, rationnelle, est souvent la meilleure. Ces dernières années, pour faire face à une société toujours plus superficielle, la philosophie stoïcienne a ressurgi comme un outil capable de nous faire affronter la vie : centre-toi sur ce qui dépend de toi ; embrasse le changement car il est inéluctable ; reste dans l'instant présent ; soit imperturbable... Oui, on parle de devenir un sage, de se transformer en un genre de Marc-Aurèle [empereur, philosophe stoïcien et écrivain romain du IIe siècle, NDLR] moderne. Mais aujourd'hui, dans ce blog, je viens revendiquer nos moments d'hédonisme, de plaisir simple.

Changement de plan

Leo Margets Monte-Carlo

Si l'on ne s'accorde pas le droit de reconnaître quand on va mal, parce qu'en bon stoïcien on se doit de toujours contrôler tes émotions, on prend le risque de finir par exploser en mille morceaux. Il y a quelques jours, au milieu de la tempête émotionnelle que j'étais en train de traverser, je me suis rendu à Monaco pour disputer l'EPT. J'avais prévu de passer dix jours là-bas, pour jouer... Lire la suite

[Blog] Au diapason

Par dans GénéralLife Style il y a 6 mois.

Blog Alexane Facebook

Salut à tous ! Beaucoup de choses se sont passées depuis mon précédent blog. Il y a trois mois, j’ai vécu une des expériences les plus excitantes de mon début de carrière live : une table finale mouvementée sur le Main Event du Winamax Poker Tour. Après pas mal de coups intéressants et de rebondissements, j’ai terminé quatrième pour 60 000 €. Dès le lendemain, la même question revenait en boucle : « Est-ce que tu n’es pas trop déçue de ne pas avoir gagné et d’avoir fait des erreurs qui t’ont coûté la première place ? ». En réalité, pas du tout. J’ai fait de mon mieux pour tenter de soulever le trophée, et au moment du dernier flip qui m’a couté 99% de mon stack, j’étais sereine et j’ai accepté l’idée que la victoire serait probablement pour une autre fois. Pourtant, ça n’a rien à voir avec une quelconque mentalité défaitiste.

Tout pour la musique

J’ai grandi dans un milieu très compétitif, et j’ai toujours adoré le challenge. J’ai fait de la musique à haut niveau pendant presque la moitié de ma vie. Il y a quinze ans, j’avais 13 ans et j’étais sur le point de passer l’épreuve la plus importante de mon adolescence : l’audition d’entrée au Conservatoire National de Paris, un centre de formation très prestigieux à l’attention des jeunes futurs danseurs, musiciens et solistes d’Europe. Anxieuse mais pleine d’espoir, ma mère en coulisses et mes partitions à la main, je me suis avancée dans le plus grand amphithéâtre que j’avais jamais vu et j’ai exécuté avec passion les morceaux que j’avais travaillés des semaines durant.

Alexane Najchaus NB

Après quelques heures d’attentes qui m’ont semblé interminables, vint le soulagement : je faisais partie des deux élèves choisis pour intégrer le double cursus offert par l’école et le Conservatoire.... Lire la suite